La cordillère des andes vue de la ruta 7

Iguazú, la fin del viajé.

 27 février,

Levé à 5h ce matin, uber vient nous chercher pour nous livrer à l'aéroport où nous attend notre avion sur le tarmac.


Malgré l'état des pneus on monte quand même on verra bien à l'atterrissage...


L'avion n'est pas très stable et on est serrés comme dans un bus d'autant qu'il est plein à craquer. On atterrit comme un tank en parachute, mais on est saufs.

On prend le premier taxi pour le parc d'iguazu, et à 10h pétantes on fait la queue pour acheter les billets d'entrée.



On attaque la balade, il fait doux, genre 31°, c'est très bien aménagé et au bout de quelques centaines de mètres la foret s'ouvre sur les chutes en fer à cheval.

C'est immense, au moins 10 fois spivice, le débit est énorme, et le bruit va avec.



Nous faisons toute la galerie supérieure, genre 1700 m plus retour, et on fait une pause à la station du train. On le prend pour aller sur un autre site, mais il nous ramène à l'entrée, on le reprend dans l'autre sens et il nous font descendre à la station de depart, la destination finale, à 7000 m est juste fermée, mais le tarif reste le même.

Ici, les singes ne sont pas sauvages et volent même les bouteilles aux touristes.

Les oiseaux non plus d'ailleurs.

Du coup on s'attaque à la galerie inférieure pour avoir du frais, il fait bien 36° à l'ombre.

Et d'en bas.la vue est encore plus impressionnante.




On avance encore, y'en a pour 3000 mètres, mais ça vaut le coup!





Nous avons même trouvé où est tournée la pub Ushuaia, mais la vahiné n'y était plus.




On fait une pause avant de rejoindre l'entrée, venir en avion c'est cool, mais le changement de climat en 1h30, c'est pas facile, on sue comme des boeufs attelés.

Heureusement, nous sommes limitrophes du Brésil, et donc après de fortes chaleurs vient la shuvia! Mais les lapins ont l'habitude, dans le sac à dos il y a......le blouson de pluie!!

Dernière sortie, et dernière pluie.

La carte à jour de nos points google.


Nous nous rendons en bus à Pertu Iguazú histoire de brûler les heures ailleurs qu'à l'aéroport.

Le retour vers Buenos Aires est plus folklorique, nous avions reçu un mail de flybondi pour nous dire que le vol était décalé d'une heure, et donc arrivée à 1h30, nous prenons notre temps à la brasserie Patagonia de Puerto Iguazù, en commandant "una parrilla por dos" une planche avec du boeuf, du filet de boeuf, du chorizo et du boudin grillé avec des papas fritas.

Vers 21h on s'inquiète du retour, l'avion est à 23h40, on prend un taxi pour rejoindre l' aéroport, on y est donc 2h avant le décollage, impec! 

Sauf que l'enregistrement chez flybondi est d'une lenteur affligeante, pour pas attendre debout on attend que la file diminue vu qu'on a pas de bagages à enregistrer, jusqu'à 22h30.

On fait la queue pour l'enregistrement et on passe à 23h15!!

On monte à l'embarquement, porte 6 comme indiqué sur nos tickets, mais la queue est porte 3 comme indiqué sur les panneaux d'affichages.....jusque 23h30 ou c'est ....porte 6.

Sur le panneau est indiqué depart prévu 23h40, alors que pas un seul passager n'est dans l'avion à 23h33.

Et c'est là que nous nous apercevons qu'il ont changé d'aéroport d'arrivée !! Il etait temps, une fois passé la porte, plus de wifi pour prévenir Gustavo qui aurait été nous chercher de l'autre côté de Buenos Aires!

On monte dans l'avion à 23h55, il décolle à 00h40, avec une heure de retard en plus de l'heure de décalage, on retrouve Gustavo à 2h30, un peu rincés de la journée, mais des images plein la tête !

1 commentaire:

  1. Quelles magnifiques paysages, merci à vous deux de m’avoir fait voyager avec vous, suivre vos aventures c’était formidable et surtout bravo, bon retour parmi nous, bisous à vous deux.
    Christiane

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