La cordillère des andes vue de la ruta 7

Gustavo

Une petite présentation de Gustavo car c'est en partie grâce à lui que nous sommes de retour en Argentine.

Nous ne ne sommes jamais rencontrés, nous conversons sur le web et WhatsApp depuis 2018.

Lors de notre premier passage en 2015, nous avions vendu nos Ténéré à un argentin de Buenos Aires, et Gustavo a racheté celle d'Alain plus tard. En 2018, Gustavo nous a retrouvé via le blog et m'a demandé si je pouvais l'aider à immatriculer la mémère azul en lui fournissant quelques papiers officiels. 

Et depuis nous restons en relation. Lors de la préparation il m'a proposé de nous accompagner une partie du voyage, mais depuis il s'est fait opérer du dos et ne pourra donc pas le faire, néanmoins il s'est déplacé à Tanti pour nous y accueillir, à 800 km de Buenos Aires. C'est dire si nous sommes impatients d'être à Tanti ce soir.


9 janvier,

Levés vers 8h nous prenons le tidej compris dans la chambre, à la station AXION.

On charge et gazzz. on  fait le plein et on attaque notre ligne droite du matin, de 35km, au second virage, on entre dans un village, il y a une station, on y prend un café avec una media luna.

On reprend la ligne droite avant d’arriver Capilla del Monte, et ensuite on attaque la zone urbaine sur les derniers 50 km.

On y voit des nids bizarres sur les poteaux electriques, ce sont des nids de perruches, des cornue de Patagonie, organisés en veritables HLM.


Le temps de trouver la maison de Gustavo dont nous n’avons que le point GPS, et il est 14h30, le feu est en route pour l’asado, Gustavo et deux de ses copains motards, Fabien et Fernando nous accueillent comme des rois.


On mange boeuf, saucisses et poulet, avec salade verte tomates et oignons, accompagnés d’un fameux vin de Mendoza.

Nous parlons en espagnol avec Gustavo, italien avec Fernando, et anglais avec Fabien, un doux mélange, mais en croisant tout ca on se comprend assez bien.

On passe au maté, dans le jardin, et il est déjà 19h, on a eu le temps de tout caler pour demain, les vidanges, la réparation de la roue avant pour 25 euros et en 24h, le lavage des fringues demain et le change d’une partie des dollars.




Fabien et Gustavo partent en courses pendant que nous prenons nos douches, ils reviennent avec de quoi faire des pizzas pour ce soir.

On traine en soirée devant les pizzas et bière ANDES, à minuit, extinction des feux.

Journee bien remplie avec 278 km, nous avons fait le premier tiers du parcours, demain on revise les mobs et on répare ce qui est cassé, elles on deja fait 6131 km.

 10 janvier,

Levé vers 7h, on boit le maté, puis on demonte la roue de la GS bianca, on trie le linge et on descend à Carlos Paz car le réparateur de jante y est.

On en profite pour prendre 7litres d'huile Ipone, un cable d'embrayage au cas ou, et un filtre à huile.

Puis on passe à la laverie poser notre linge, ce sera prêt demain matin, comme la roue. On fait un tour dans la ville, et on prend un café avec media luna.







On revient chez Gustavo, et pendant que Fernando nous prepare une bolognese au poulet, on travaille sur les breles, vidange et menue reparation, histoire qu'elles tiennent jusqu'a Ushuaia.


Vers 17h, fabian nous emmène chercher linge et roue qui sont prêts, on paye en dollars, ce qui diminue le prix de 25%. Puis on rentre remonter tout ça et boire le maté.

Ce sera une journée super, nous avons fait plein de truc avec eux, ils se sont décarcassés pour que nous puissions repartir le plus vite possible en forme, propres avec des motos révisées. 

En fin de journée nous partageons maté et patisseries, puis Gustavo nous prépare des anpanados à base de viande boeuf hachée, oignon et poivrons placés dans une petite crêpe puis frits.





On fini la soirée à pas loin de,1h du mat', pas mal pour une journée de repos.



3 commentaires:

  1. C'est ça les belles rencontres 🤩

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  2. Super accueil de Gustavo, ... et 2 motards bien avachis sur une photo, excès de vin de Mendoza ?

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  3. Et petit conseil: prenez votre temps pour revenir en métropole, y'a du changement à Matignon, et pas certain qu'on y gagne au change, pourtant il y avait de la marge avec Élisabeth ....

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