La cordillère des andes vue de la ruta 7

18) Notre parcours réalisé.

Voici la carte de notre parcours réel, 11469 km quand même.

Nous tenons à remercier tout particulièrement, et dans l'ordre chronologique:
- Chevassus pneu pour le prêt de matériel depuis Poligny
- Jacques pour son accueil à Macouria
- Philippe pour son accueil et la visite de Paramaribo
- Harry pour nous avoir offert un plein d'essence vers New Amsterdam
- Fenton pour son accueil à la caserne des pompiers de Linden
- Jésus pour son accueil et la visite de Santarem
- Abel pour son aide mécanique et pécunière à Jacaréacanga
- Fabien pour son aide et accueil à Buenos Aires

Et bien sur tous ceux que nous avons croisé 5mn ou plus et qui nous ont filé un coup de main ou ont essayé de nous comprendre.

Si vous voulez rêver encore un peu, je vous conseille le blog de philippe et chunny:
et son précedent:

Vous pouvez aussi nous rejoindre sur le forum suivant:


17) Voila...c'est fini.

Bon ben voilà, c'est fini, je n'ai pas fait de commentaires sur Buenos Aires, la ville c'est pas notre fort, mais il faut reconnaître que les quartiers chics ou nous étions hébergés par Fabien sont super beaux.
Fabien nous à prêté son nouvel appart, nous l'avons étrenné, quelle confiance et quel accueil, il à été aux petits soins pour nous, qui étions paumés pire que dans l’Amazonie.




Le retour c'est super bien passé, dans les sièges inconfortables du 777 pendant 14h, choisissez un Airbus si vous le pouvez, les sièges font moins mal au cul.


Il nous reste les souvenirs, et quels souvenirs!
Nous vous remercions pour votre soutien en nous lisant, presque 5400 pages lues à ce jour, et encore merci pour vos commentaires; il me reste à corriger toutes mes "fotes de phrape" et y mettre des photos que l'on ne pouvait pas passer de là-bas. Je vous invite à relire les pages à l'occasion, je pense encore les améliorer.(depuis, c'est fait!)

16) Perdus dans la Pampa

27 février
Nous sortons de la Cordillère des Andes par la nationale 7, spectacle grandiose, le relief et les couleurs sont blufantes, en plus le beau temps est de la partie.




 Puis nous arrivons en plaine ou nous prenons la mythique ruta 40, ici elle est en fait une double voies rectiligne et sans intérêt entre les vignes, et nous mène direct non à la shuva, mais à la lluvia, ici on est passé du portugais à l'espagnol. 60km plus loin, nous arrivons à San Rafael, trempés et froids, fini aussi la pluie à 28 degrés.

De bonne heure à l’hôtel, nous prenons le temps de goûter les vins de la région, cabernet sauvignon de 2006 intéressant,


puis un cabernet sauvignon de 2004, mais "récolte primée", le second est bien plus abouti et s'approche un peu d'un hautes cotes de Beaune.


28 février
Allez hop, reste 1000 bornes pour Buenos Aires, faut y aller. Ici, des vignes sur 100km non stop, puis des oliviers sur 120, puis des vaches sur 100, et là, on est dans la Pampa, ce n'est pas une expression, il s'agit de la région. On cherche un dab alimenté, on trouvera à Realico, la banque de la pampa, justement, mais la ville est presque morte, bien que très propre et ordonnée, on ne voit personne, un samedi soir!!
Derrière
Devant
La R12

1 mars
Toujours à travers la Pampa, nous avançons au milieu des vaches et des étangs accueillant des flamants roses, mais le paysage est toujours aussi plat nous flirtons les 45m d'altitude depuis 500km, heureusement il y a deux courbes pour nous réveiller.


 Nous faisons étape à Carmen de Areco sympathique bourgade étalée sur 10km de long mais elle aussi inscrite au concours ville morte...pas un chat, tout est fermé. Nous dînerons d'un sandwich à la station essence y'a que ça d'ouvert!